I. Protocole pour traiter les questions de grammaire
En règle générale, 3 temps doivent être abordés :
-TOUJOURS COMMENCER PAR UNE INTRODUCTION THEORIQUE DEFINISSANT LA NOTION DE GRAMMAIRE EN QUESTION.
-CONTINUER PAR L'ANALYSE ET/OU LA TRANSFORMATION DEMANDEE.
-TOUJOURS FINIR PAR UNE REMARQUE SUR CE QUE LA GRAMMAIRE APPORTE A L'INTERPRETATION DU TEXTE.
Question sur les subordonnées circonstancielles :
- Topo théorique.
- Repérer la principale et la subordonnée.
- Définir la circonstancielle : proposition déplaçable et supprimable (comme un complément
circonstanciel).
- Énoncer la valeur de la circonstancielle, dont il s’agit (cause, but, temps…) et nommer le mot
introducteur utilisé (conjonction de subordination, locution conjonctive).
- Donner le mode verbal pour cette circonstancielle (ex : après que + indicatif, bien que +
subjonctif…). Pourquoi ce mode ?
Question sur les négations :
- Commencer en définissant la négation (=forme de phrase qui s’oppose à l’assertion).
- Identifier les termes négatifs utilisés (adverbes, pronom, déterminant…)
- Dire s’il s’agit d’une négation lexicale (reposant uniquement sur le vocabulaire, par exemple avec les préfixes a- ou in-) ou syntaxique (avec ne…pas, etc.).
- Dire si la négation est partielle ou totale.
- Repérer s’il manque des termes de la négation : langage oral, langage soutenu, ne supplétif…
Question sur les interrogations :
- Présenter les 2 formes d’interrogatives qui existent et leurs caractéristiques (directe ou indirecte).
- Dire qu’il s’agit d’une phrase complexe pour l’une (l’indirecte : subordonnée complétive) et d’une
phrase simple pour l’autre (la directe).
- Identifier le mot interrogatif (s’il y en a un) : pronom, déterminant.
- Dire s’il s’agit d’une interrogation partielle ou totale (= question ouverte ou fermée).
- Dire si l’interrogation est descriptive ou polémique, s’il s’agit d’une question rhétorique.
II. Cours de grammaire de cette année